Meufs du 16 (vs) Meufs du 92i: la sempiternelle rivalité francilienne
Meufs du 16 et meufs du 92i n’ont pratiquement rien en commun.
Et pourtant, seul un périph les séparent géographiquement…
- Interlude héréditaire: Le fils spirituel de Coco Chanel
Une ligne Maginot qui va bien au-delà des simples apparences stylistiques.
Naître dans le XVIème arrondissement de Paris offre aux heureuses élues une multitude de privilèges (assurément non-méritées).

Pour se saper dans les boutiques les plus chiques de la capitale, les « seizièmoises » ont pour budget le PIB du Tonga.
Ce qui n’est bien évidemment pas le cas du commun des mortels…
- Pause paternelle: Albert Chanel, le père trop absent de Coco du même nom
La 92i doit donc finasser pour se faire coquette (sans se ruiner pour autant).
Le style vestimentaire de cette dernière – que certains jugent « géchar » – ne laisse pas indifférent sur l’ensemble des réseaux sociaux.
Le « Neuf-Deux » faisant référence au département des Hauts-de-Seine dont est originaire le rappeur Booba ; et « i » renvoie au mot « injection ».
La combinaison de ces deux termes est une référence au label musical du « Duc de Boulogne » – ainsi qu’à sa marque de vêtement.
Depuis, il sert aussi à désigner un look typiquement altoséquenais avec un maquillage – ou « make-up » – gorgé de fond de teint.
Phénomène de mode, cette identité visuelle – propre à cette gente féminine – déchaîne les passions.
Dans le match avec les bourgeoises du XVIème, on peut dire qu’elles sont infiniment plus populaires.
Même si la bourgeoisie conserve malgré tout le monopole du nec plus ultra de la finesse et de la sophistication.



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